Anthologie de la 24e édition du Printemps des poètes, ce recueil rassemble « toutes les générations et tous les courants »* et les poèmes, souvent inédits, ici proposés, « [Ils] parlent de l’intime, de quête de liberté, d’inquiétude, de révolte et d’espoir »*
Autour de l’éphémère qui pourrait caractériser nos vies d’humains, 108 poètes d’horizons divers nous livrent des mots qui, justement, ne seront pas éphémères. Car nous pourrons y revenir à chaque fois que l’envie ou le besoin nous rapprocheront de cette réalité de l’éphémère dans nos vies. Alors, les poèmes de Là où dansent les éphémères ** nous inviteront à danser la vie.
Également éditée en partenariat avec « Le Printemps des poètes », L’Éphémère : 88 plaisirs fugaces***, l’anthologie établie par Thierry Renard et Bruno Doucey, avec la participation d’Ernest Pignon-Ernest, nous propose de découvrir de nombreux autres poètes. « L’éphémère » développé en acrostiche y ouvre des chapitres de « L’instant » à l’« Éternité » : des « plaisirs fugaces » auxquels, ici aussi, nous serons tentés de revenir.
Chacun de ces recueils nous présente les poètes qu’il réunit ouvrant nos (re)découvertes à l’exploration de leurs œuvres : d’autres poèmes à danser, à vivre.
* extrait de la préface de Jean-Yves Reuzeau
** Le Castor Astral, Le Printemps des poètes, 2022
*** Editions Bruno Doucey, 2022