La mer comme un miroir de l’humain, de soi. La philosophe Laurence Devillairs transpose dans nos vies les infinies figures marines.
Ainsi, après avoir traversé “La mer des Sargasses” ou “Eviter le piège des regrets “ nous nous retrouvons à “Marée haute, marée basse” qui nous invitent à “accueillir ce qui vient”.
Chacun des chapitres évoque la mer, ses habitants réels ou ses personnages mythiques, ses contours et ses respirations paisibles ou houleuses. Et nous, humains, sommes interpellés dans chacune de ces évocations.Vous reconnaîtrez-vous “Comme une île en pleine mer/ Être soi-même” ? A qui vous fera penser “l’Ancre de miséricorde/Savoir s’abriter des vents” de la vie ?
Dans ces courts portraits croisés de mer et de terriens, l’auteure partage tant son amour de la première que son attention aux seconds, qu’elle encourage à la liberté et à l’apaisement.