Ce roman pourrait avoir comme sous-titre cette magnifique expression de Leonard Cohen : les perdants magnifiques !
Comment vivre heureux quand le monde ne nous offre plus que le choix qu'entre la haine de l'autre et la haine de soi ?
C'est l'histoire d'un groupe d'étudiants complices et utopiques que la guerre du Liban (même si le pays et les villes ne sont jamais nommés) a dispersé.
L'exil, les espoirs perdus, l'envie de revoir les lieux de la jeunesse provoquent des retrouvailles tardives et impossibles.
Attention : à lire en congés ou à la veille d'un week-end, une fois commencées les 500 pages se lisent d'une traite !
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